LES DÉCOUVERTES DU FESTIVAL :

Marlie et Philor
15h00
Deux jeunes filles amoureuses de la musique, se sont réunies autour d’une passion commune. Elles ont 18 ans et s’appellent Marlie et Philor. Ce tout nouveau duo fera sa première scène spécialement pour Chants d’Elles... À découvrir !

Athenabene Tridem
15h30
De “Dame des Envies” à “la Voleuse de cyclamens”, ce sont des histoires de vie, portées par des arrangements raffinés qu’Athenabene raconte avec poésie et drôlerie. Les chansons sont créées par Athenabene, il y est souvent question de femmes. François Pognon, pianiste talentueux, compose et arrange. Bernard Cochin, contrebassiste apporte son beau jeu sensible .

Les Filles d’Avril
16h05
Elles aiment le printemps puisqu’elles sont toutes les trois nées en avril. Des filles d’avril... Elles se connaissent depuis toujours ou presque. Elles aiment chanter à trois voix et ont la chance d’avoir des musiciens qui leur écrivent des arrangements sur mesure. Un luxe ! Pierre Gaudin, Guillaume Payen, Gérard Yon et Alexandre Rasse leur ont concocté quelques arrangements vocaux de haute volée qu’elles interprètent a capella ou accompagnées à la guitare sur les airs de Gainsbourg à Véronique Sanson en faisant un détour du côté de Prévert.

CONCERT DE CLÔTURE :
Orlando
16h45
Orlando est un quintet toulousain où chaque sexe est représenté : homme, femme et le troisième. C’est un cabaret déjanté, inventif, audacieux et radicalement hors des normes. Cet univers musical est une zone jusqu’alors inexplorée, un carrefour transgenre où la plus délicate poésie et le burlesque le plus acharné font équipe.
Tous chanteurs, auteurs et compositeurs, instrumentistes, ils déploient sur scène un spectacle très free, intriguant et décapant. Défiant tous les codes du concert, les artistes n’ont pas de rôle assigné. Tour à tour, ils se retrouvent au piano, chantent et jouent de l’accordéon ou du clavier, s’échangeant les places pour chaque titre. Ils interagissent sur scène ensemble composant chacun des titres à trois, avec des effets de présence et de changement d’individualité.
L’individu, c’est le thème même d’Orlando, héros-héroïne issu du conte fantastique de Virginia Woolf où il se réveille dans le corps d’une femme. Cette allégorie des différents “moi” aborde alors des sujets forts comme l’amour, la souffrance traités de façon à la fois poétique et loufoque dans ce spectacle.
Le groupe défend des textes punk avec une élégance désuète, sur des thèmes comme la natation en piscine atomique, l’auto-cannibalisme de l’âme humaine, la féminité qui n’existe pas... tout en se permettant quelques détours par le conte fantastique pour aborder le sexe virtuel ou un dance-floor avec des ailes accrochées aux baskets.

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