MÉLODINE : 17h00
Mélodine, lumineuse, mélancolique, enamourée, nous invite au voyage. Quelques rayons de soleil andalou, une pointe de brume irlandaise saupoudrée sur le pavé parisien ; des chansons en français, en espagnol, et parfois en langue imaginaire ; un accordéon, une guitare, un tambour, et voilà, c’est parti !

P.O.U.F. : -17h20
Petite organisation ultra féminine ! Parcequ’il y a deux façons de parler de la condition féminine, avec ou sans humour ! Ce trio musical n’en manque pas et décape des tubes d’hier et aujourd’hui. Le choix des pièces, la mise en scène, la justesse du jeu y compris dans les improvisations de ces trois comédiennes-chanteuses-musiciennes en disent aussi long que des kilomètres de discours féministe. Les Poufs ne laissent personne indifférent ni les hommes ni les femmes.

HÉLÈNE FURCAJG- : 18h10
Nous avons beaucoup de chance de recevoir ce jour Hélène, une voix à chanter une enfance qui ne fut pas bénie, un bonheur à chanter la poésie de tous ceux qui furent et restent les maîtres des mots et de la musique. Elle a commencé à quarante ans, auparavant chanter en faisant la vaisselle et le ménage étaient choses induites qui lui ont permis un sacré répertoire qu’elle ne cesse d’agrandir et de partager.

GIÉD’RÉ- : 18h45
Guitare noire et cheveux blonds, elle chante ces petites choses dont on a honte mais qui font rire quand les autres les racontent. En deux notes et trois accords, elle retrace le destin tragique mais rigolo d’un nain paralytique qui rencontre l’amour dans un chenil à Roubaix, chantonne le parcours d’une joyeuse bande de prostituées unijambistes, et s’amuse des paradoxes d’un monde politiquement très correct.